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Douze femmes ayant avorté ont témoigné en février dernier des souffrances que cet acte leur a infligées devant des députés et sénateurs, y compris «progressistes» et «engagés pour les droits des femmes». C'est la première fois que certains semblaient entendre cette réalité violente, en contradiction avec leur idéologie.
À l’issue de ces rendez-vous, trois de ces femmes ont témoigné dans cette vidéo.
Les échanges avec les parlementaires ont porté sur trois angles morts des politiques publiques :
Il faut écouter ces femmes et partager ces témoignages bouleversants. Des milliers de femmes sont traumatisées parce qu'on ne les a pas mises en garde.
Ce sont elles qui le disent : les séquelles psychologiques ne sont pas "une idée reçue." C'est une réalité parce qu'absolument personne ne peut souhaiter accoucher d'un fœtus mort dans ses toilettes et tirer la chasse comme si de rien n'était !
L'avortement est le service après-vente d'une libération sexuelle délirante. Comme dit l'une des témoins : l'encouragement à la sexualité juvénile et inconséquente est la racine du problème. Qui dit sexualité dit responsabilité...
Les rendez-vous de ces femmes avec les parlementaires en février ont eu des retombées médiatiques en France : Valeurs Actuelles, France catholique, Boulevard Voltaire, L’Homme nouveau, Libération, Le Monde ; et à l’étranger : TV publique RTP2 (Portugal), National Catholic Register (États-Unis), ACI Prensa (Pérou).
De nombreux parlementaires ayant demandé des rendez-vous ultérieurs, des femmes reviendront les rencontrer à l’Assemblée nationale et au Sénat en mai prochain. L’ECLJ agit également pour éviter l’ajout de l’avortement dans la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne.
S'il vous plaît, partagez cette vidéo aux filles et femmes que vous connaissez pour les mettre en garde. Vous pouvez, littéralement, sauver des vies.