Aide à mourir: la loi décryptée avec Grégor Puppinck
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Ce vendredi 2 mai, l’examen de la proposition de loi pour légaliser le suicide assisté se termine en commission et montre une chose : c’est bel et bien une loi faite par et pour le lobby de l’euthanasie, l’Association pour le droit de mourir dans la dignité.

 

En effet :

 

  • Le texte créant un « droit à mourir » est large et ne s’appliquerait pas uniquement à « la fin de vie », mais à toute personne malade ;
  • Les amendements de bon sens pour protéger les personnes vulnérables, garantir un consentement éclairé et promouvoir les soins palliatifs sont systématiquement rejetés ;
  • Le délit d’entrave au suicide assisté est déjà prévu dans la loi et l’ADMD pourra exercer des recours juridiques contre ceux qui voudront « entraver » le suicide d’autrui, y compris les pharmaciens qui refuseraient de préparer le poison.

 

C’est pourquoi, l’ECLJ, en tant qu’ONG accréditée à l’ONU, agit auprès de cette organisation pour qu’elle rappelle à la France que l’euthanasie est fondamentalement contraire aux droits de l’homme.

 

Nous avons soumis la pétition que plus de 12.000 d’entre vous ont signé et avons obtenu un rendez-vous avec le Comité des droits des personnes handicapées, qui aura lieu le 6 mai.

 

C’est une belle victoire d’étape et nous allons poursuivre nos efforts pour que le droit international prévale sur ce projet de faire du suicide un acte de liberté individuelle.

 

Grégor Puppinck, directeur de l’ECLJ, vous explique ce que contient exactement la proposition de loi dans ce nouvel entretien du mois à découvrir dès maintenant.

L’ONU doit rappeler que l’euthanasie viole les droits fondamentaux
Lire le texte complet de la pétition

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