Tout être humain né vivant est une personne humaine ayant droit à la vie.
Dans le cadre d'avortements tardifs (interruptions médicales de grossesses), de fausses couches tardives ou de naissances de bébés atteints de handicaps graves, des enfants naissent parfois vivants et sont euthanasiés par des médecins, ou laissés à l'agonie dans une pièce, jusqu'à leur mort.
Ces pratiques sont inacceptables, et constituent une violation flagrante du droit fondamental à la vie de toute personne.
Grâce aux progrès de la médecine, la vie des enfants peut être sauvée de plus en plus tôt.
Alors que débutent en France les états généraux de la bioéthique, l'ECLJ recommande de rabaisser en toutes circonstances le délai légal maximum de l'avortement à 20 semaines de grossesse, seuil de viabilité défini par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
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