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Grégor Puppinck's New Book in the News

Grégor Puppinck's New Book in the News

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International review of "Les droits de l'homme dénaturé":

 

 « Un important essai sur les droits de l’homme », La Nef, 02/11/18.

 

 « Le délicat bilan des droits de l'Homme face à l'évolution de la société », Atlantico, 11/11/18.

 

« Un livre pour comprendre le monde d’aujourd’hui », Présent, 13/11/18.

 

 « Grégor Puppinck dénonce une dénaturation de l'homme à travers l'évolution des droits de l'homme », Le Figaro Vox, 16/11/18.

 

« Un livre pour découvrir les arcanes d’un combat de longue haleine à l’ONU et à la CEDH, dans les grandes affaires de bioéthique et de liberté de religion », Aleteia, 19/11/18.

 

 « Le nouveau livre de Grégor Puppinck gêne les experts de l’ONU », Le Salon beige, 23/11/18.

 

« Ce livre a été écrit pour toutes les personnes qui s’interrogent face à l’évolution des droits de l’homme et de la société », Zenit, 23/11/18.

 

 « Sauver les droits de l'homme de l'idéologie », Valeurs Actuelles, 28/11/18.

 

 « Grégor Puppinck dénonce l’approche matérialiste de la dignité humaine que défendent les instances européennes et les Nations unies », Famille chrétienne, 29/11/18.

 

« Expert auprès d’organisations internationales et des services diplomatiques du Saint-Siège, Grégor Puppinck analyse une dérive », France catholique, 05/12/18.

Image associée Recension par Paul Sugy dans le Figaro du 10 novembre 2018

« Le droit contre l’homme »

Le 10 décembre, la Déclaration universelle des droits de l’homme soufflera ses 70 bougies. Ce texte a inauguré une double dynamique : l’universalisation de la morale et son corollaire, l’internationalisation du droit.

Or, dans Les Droits de l’homme dénaturé, Grégor Puppinck révèle que, loin d’être un simple ensemble juridique, ces droits définissent en réalité une anthropologie. Quel est donc l’homme des droits de l’homme ? Selon ce fin connaisseur du droit européen, ce n’est plus la « personne » humaine, conception de l’homme comme union d’un corps et d’un esprit et possédant une dignité naturelle. Avec l’individualisme, l’âme l’a emporté sur le corps, réduisant cette dignité à une autonomie du sujet devenue l’objet premier des droits de l’homme.

Ainsi, le droit à disposer de son propre corps « affirme la primauté de la volonté non seulement sur le corps, mais plus encore contre le corps, pour le dominer ». Dès lors, loin de lui intimer de se respecter lui-même, les droits de l’homme autorisent celui-ci à nier jusqu’à sa propre nature, y compris à marchander son corps (prostitution, GPA) ou à le détruire (drogue, euthanasie). Pourvu seulement qu’il le désire. C’est en somme, selon l’auteur, l’affirmation revancharde d’une « volonté de puissance » narcissique et nihiliste.

Il n’y a ensuite plus qu’un pas à franchir pour que les droits de l’homme deviennent ceux du surhomme - de l’homme transhumain. De ces droits « selon la nature » devenus des droits « contre la nature », il résultera de nouveaux droits, « au-delà de la nature », qui autoriseront l’individu à s’augmenter lui-même grâce à la technique.

À lire cet essai précis et (c’est un exploit pour un juriste !) également très accessible, on comprend soudain mieux ce qui se joue, bien discrètement, à l’ombre des juridictions internationales. Et si l’avenir de l’homme était entre les mains de la justice ? C’est peut-être en somme la thèse de ce livre. Et ce n’est guère rassurant. »

 

« "Les droits de l'homme dénaturé" par Grégor Puppinck », entretien sur RCF Radio, 07/12/18.

 

 « 70 ans après, la Déclaration universelle des droits de l’homme est-elle encore universelle ? », Boulevard Voltaire 9/12/18.

 

« Avec la Déclaration de 1948, les États font primer la personne sur le principe de souveraineté », grand entretien sur Philitt, (1/2), 10/12/18,

 

 « Les droits de l’homme sont-ils devenus fous ? », Aleteia, 10/12/18.

 

Grégor Puppinck était reçu par Frédéric Taddeï pour l'émission « Interdit d'interdire / Culture : n°21) », RT France, 11/12/18.

 

« Les droits de l’homme sont devenus le support du transhumanisme », grand entretien sur Philitt, (2/2) 12/12/18.

 

« Un livre critique sur les droits de l’homme », La Croix, 14/12/18.

 

  « Philosophies des Droits de l'homme », Alain Finkielkraut reçoit Grégor Puppinck dans l’émission « Répliques » de France culture, pour un débat avec Frédéric Worms, 15/12/18.

 

 Grégor Puppinck avance de manière très pédagogique avec le lecteur qui veut croire dans sa conclusion qu’ « il y a quelque chose en l’homme qui résiste en sa dénaturation », Gènéthique, 17/12/18.

 

 « Pünktlich zum 70. Jahrestag der Deklaration der Allgemeinen Erklärung der Menschenrechte (AEMR) hat der französische Jurist Grégor Puppinck ein bemerkenswertes Buch über die Entwicklung der Menschenrechte vorgelegt » « Der gegenwärtigen Entstellung der Menschenrechte liegt gemäß Puppincks neuem Buch hingegen eine tiefgreifende Transformation des Begriffs „Würde“ zugrunde. Diese werde „zusehends auf den individuellen Willen reduziert oder auf den Geist im Gegensatz zum Körper, was dazu führt, jede Überwindung natürlicher Schranken als Befreiung und Fortschritt anzustreben », kath.net, 17/12/18.

 

http://img.over-blog-kiwi.com/980x320-ct/0/96/23/28/20150903/ob_c88d87_neologobis.jpg « Le livre de référence sur les droits de l’homme (…) Il faut lire cet essai magistral, pour agir en connaissance de cause contre ce processus terrifiant qui conduit au transhumanisme », Chrétiens dans la cité, 22/12/18.

 

Jacques Benhamou recevait Grégor Puppinck sur RCJ, dans l'émission Côté Jardin (45 minutes), 24/12/18.

 

« Grégor Puppinck a le mérite de mettre les pieds dans le plat » ; « Un excellent livre » ; « Un ouvrage fondamental à lire et à méditer » ; « Le temps de Noël est propice à réfléchir à la nature humaine », entretien sur TV Libertés, 30/12/18.

 

« Une analyse juridique et anthropologique pêrtinente, qui nous pousse à interroger sur ce qui constitue notre humanité aujourd'hui », Carrefours d'Alsace, 01/01/19.

 

« En 1948, les Nations unies adoptaient la Déclaration universelle des droits de l’homme. 70 ans après, Grégor Puppinck dénonce les utilisations abusives et les contradictions inhérentes à ce texte », L’Homme nouveau, 05/01/19.

 

« André Bercoff dans tous ses états » invitait Grégor Puppinck, Sud Radio, 09/01/19. « Un livre tout à fait passionnant sur l’histoire de la Déclaration universelle des droits de l’homme, dont nous avons fêté le 70e anniversaire en décembre dernier » « Grégor Puppinck raconte l’extrême éparpillement des droits de l’homme sur des sujets qui n’ont rien à voir avec eux »

 

 Un « ouvrage de très haut intérêt, rayonnant de limpidité, et d’une lucidité tout éclairée par un esprit profondément chrétien » ; « notre auteur ne désespère pas ; il nous rappelle de belles victoires comme l’affaire Lautsi contre Italie, dite des crucifix, en 2010 (…) il conclut en nommant le seul vrai remède à la démesure orgueilleuse de la puissance désincarnée : la charité incarnée », Politique Magazine, 01/19.

 

 « En quelque 300 pages qui se dévorent quasi comme un polar, Grégor Puppinck (…) raconte toute l’histoire d’une dérive, lente mais sûre. Ce qui n’est veut pas dire qu’elle est inexorable ! », La Manif pour tous, 02/01/19.

 

L’évolution des droits de l’homme « a conduit, selon [Grégor Puppinck], à une « aliénation collective », ce qui l’amène à conclure que « le rêve de Maritain d’établir une “nouvelle chrétienté profane” est en passe de se réaliser, mais selon l’idée que Huxley se faisait de l’homme. Cette Nouvelle Chrétienté dispose des attributs de l’Église, elle est porteuse d’une promesse universelle, et c’est pourquoi son autorité est si aisément acceptée par les peuples, mais elle ne cherche plus à étendre le règne du Christ-roi. Elle œuvre à affirmer le règne de la seule conscience active dans l’univers : l’homme-dieu (…) La logique qu’expose de manière impeccable Grégor Puppinck est celle d’une libération progressive de ce qu’il nomme « l’ontologie », à savoir la nature humaine, qui en vient à être conçue comme un carcan par un homme ramené à la seule conscience individuelle », Revue Catholica, 1er trimestre 2019.

 

 « Il s’agit d’ouvrir les yeux sur l’univers idéologique dans lequel nous baignons. C’est ce que propose de faire Grégor Puppinck avec de multiples exemples concrets » « Les pages les plus éclairantes de ce livre de Grégor Puppinck sont celle qui sont consacrées à la nouvelle conception de la personne humaine », Observatoire Foi et Culture de de la Conférence des évêques de France, 06/03/19.

 

 « Au carrefour de la philosophie et du droit, c’est une étrange histoire qu’a choisi de retracer le juriste Grégor Puppinck » : « l’histoire des droits de l’homme depuis 1948 » « Retraçant cette évolution, Grégor Puppinck met en lumière une évolution anthropologique traduite dans le droit et qui pose plus de questions qu’elle n’en règle », Le Figaro Histoire, 29/03/19.

 

 « De manera más profunda, esta evolución manifiesta una enorme transformación de la concepción de la dignidad humana, que tiende a ser reducida a la sola voluntad individual, o al espíritu en oposición al cuerpo, y que plantea la negación de la naturaleza y sus condicionamientos como una liberación y un progreso. Esto lo afirma Grégor Puppinck, que es doctor en Derecho y director del Centro Europeo para el Derecho y la Justicia (ECLJ por sus siglas en inglés, con sede en Estrasburgo), un experto que colabora con organizaciones internacionales y con los servicios diplomáticos de la Santa Sede. Acaba de publicar un importante ensayo sobre los derechos del hombre: Les droits de l'homme dénaturé » « Puppinck lo que está denunciando en su obra es la fuerte impronta que este pensamiento relativista está teniendo lamentablemente en los jueces que integran el Tribunal Europeo de Derechos Humanos, que ha tomado un papel fundamental en la consagración de supuestos derechos humanos que en verdad no son tales » « La naturaleza humana se defiende y vuelve a nosotros. Es lo que podemos ver, por ejemplo, con el testimonio de personas concebidas en vientre de alquiler, que sufren toda su vida e intentan conocer a sus padres, sus hermanos, sus hermanas. Esta necesidad de conocer el propio "origen biológico" demuestra que las dimensiones física y psíquica son indisociables, que el hombre no es sólo una voluntad, que el hombre es, por naturaleza, la unión armoniosa del cuerpo y del alma. Y sólo como tal podrá realizarse plenamente », Catholic.net, 04/19.

 

« Un importante ensayo sobre los derechos del hombre » « El jurista francés Grégor Puppinck, de 44 años, es católico y plantea duras batallas jurídicas ante el Tribunal Europeo de Derechos Humanos en defensa de la familia, la vida, la libertad religiosa o la libertad de enseñanza », Religión en Libertad, 03/04/19.

 

“Der französische Jurist Grégor Puppinck beschreibt unter Titel „Les droits de l'homme dénature“´ (Die Rechte des denaturierten Menschen, 2018), wie ein „desinkarnierter Individualismus“ materialistischer Prägung den christlichen Humanismus als kulturprägende Kraft abgelöst hat. Der Direktor des „European Center for Law and Justice“ zeigt auf, dass der Umdeutung der Menschenrechte seit 1948 (von natürlichen zu widernatürlichen und schließlich zu transnatürlichen Rechten) eine tiefgehende Transformation des Begriffs „Würde“ zugrunde liegt. Diese meine heute nicht mehr den Menschen in seiner den Leib und die Seele einschließenden Personalität, sondern werde „zusehends auf den individuellen Willen reduziert oder auf den Geist im Gegensatz zum Körper“. Dies aber führe dazu, „jede Überwindung natürlicher Schranken als Befreiung und Fortschritt anzustreben“.  Als einen ideologischen Wegbereiter dieses Kulturwandels nennt Puppinck Julian Huxley, den Bruder des Schriftstellers Aldous Huxley. Der Transhumanist und erste UNESCO-Generaldirektor äußerte 1942 in „Evolution – The Modern Synthesis“ die Ansicht, dass gewisse Eigenschaften des Menschen der Evolution hinderlich wären, was ihn schließlich die Frage aufwerfen lässt, „ob das Ziel nicht darin bestehen sollte, das Säugetier in uns sterben zu lassen, um dem Menschen ein kompletteres Leben zu ermöglichen“, Die Tagespost, 11/04/19.

 

 « L’auteur, directeur du Centre européen pour le droit et la justice et expert auprès des services diplomatiques du Saint Siège, a suivi la jurisprudence de ces Cours et étudié leurs arrêts (près d'une centaine sont cités) [...] Ce livre, très dense, et peu facile à lire, invite à la réflexion », par Antoinette Richard, LibreSens (Centre Protestant d'Études et de Documentation), 15/04/19.

 

« Ce texte [la Déclaration universelle de 1948], conçu à l’échelle du monde, efface toute allusion à une transcendance religieuse pour s’appuyer sur la seule dignité de la personne humaine, mais sans préciser si cette référence suprême s’entend de l’être charnel, social et spirituel (Jacques Maritain) ou du produit le plus élevé de l’évolution biologique (Julian Huxley) qu’est l’être humain. À la faveur de cette ambiguïté, l’idéologie individualiste perce peu à peu, au cours de la période suivante, la gangue personnaliste de cette Déclaration onusienne de 1948, comme aussi de la Convention européenne de 1950 : la vérité de l’individu se trouve désormais, non plus dans une nature qui le précède jusqu’en son corps, mais dans ce qu’il dit de lui-même (…) Cette fresque historique, rédigée par un fin connaisseur de la jurisprudence strasbourgeoise de la Cour européenne, montrera au théologien, comme au grand public, les enjeux spirituels du débat qui touche la condition incarnée du sujet humain », Prof. Xavier Dijon, Nouvelle Revue Théologique, 04/19.

 

Grégor Puppinck: « O que é preciso preservar é a capacidade de caridade do Homem ». « "Os Direitos do Homem Desnaturado" é o título de um livro de Grégor Puppinck, jurista, diretor-geral do Centro Europeu para o Direito e a Justiça e também perito da Organização para a Cooperação e o Desenvolvimento Económico (OCDE) e do Conselho da Europa sobre liberdade religiosa » « Puppinck é o criador da iniciativa “One of Us” e do site ‘O Evangelho Quotidiano’, divulgado em 14 línguas » « Preocupado com a desconstrução dos pressupostos cristãos e humanistas da Declaração Universal dos Direitos do Homem, que foi aprovada em 1948, Puppinck passou por Portugal para um conjunto de conferências a propósito do seu novo livro - o ponto de partida para uma conversa com a Renascença », Renascença, 16/04/19.

 

 « [...] Este bem, que é verdadeiramente sobrenatural e humano, tem um nome: chama-se caridade. Suprimindo a caridade perdemos a nossa humanidade. A caridade não se exerce em sonhos de poder nem em discursos; encarna na realidade da existência”. É o que se chama a “caridade encarnada”. Trata-se de um livro sobre a nossa sociedade atual, mais do que em conceitos, numa análise prática das suas dimensões. Por isso, é leitura recomendável. », Voz Portucalsense, 27/04/19.

 

« Puppinck lo que está denunciando en su obra es la fuerte impronta que este pensamiento relativista está teniendo lamentablemente en los jueces que integran el Tribunal Europeo de Derechos Humanos, que ha tomado un papel fundamental en la consagración de supuestos derechos humanos que en verdad no son tales. Como ya hemos dicho, el relativismo ideológico está pasando a tener consagración legal y jurisprudencial en varios Estados, organismos internacionales y jurisdiccionales », Forum Libertas, 03/05/19.

 

 Grégor Puppinck « [met] en évidence le lien entre gouvernance et droits de l’homme » « Les jurisprudences de la Cour européenne des droits de l’homme (organe du Conseil de l’Europe) et du Comité des droits de l’homme (Organisation des Nations Unies) constituent l’un de [ses] cœurs de recherches », Le Bien Commun, n°8, 17/06/19.

 

La « PMA pour toutes » « ouvre la voie, au transhumanisme : la fin de la filiation par l’engendrement. C’est ce que montre, dans le domaine juridique, le livre de Gregor Puppinck au titre si expressif Les droits de l’homme dénaturé. Car, ne nous leurrons pas : PMA et GPA ne font qu’un », Causeur, 19/06/19.

 

« L’auteur est particulièrement bien placé pour constater l’évolution des droits de l’homme puisqu’il dirige, à Strasbourg, l’European Center for Law and Justice, une organisation non gouvernementale qui défend leur interprétation jus naturaliste auprès des Institutions européennes. Cette analyse est bienvenue à l’heure du soixante-dixième anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948. Un public francophone qui vit dans un monde où les hiérarchies de valeurs s’estompent dans le brouillard du relativisme absolu pourra en faire son miel pour nourrir son civisme », Revue d'Histoire de l'Église de France, 2e trimestre 2019.

 

« Neste quadro, ofereceram-me há dias um livro que recomendo: «Os Direitos do Homem Desnaturado», de Grégor Puppinck [...] O “homem desnaturado” - eis o alerta central de Grégor Puppinck - é a condição do presente. E não parece ser uma condição muito tranquilizadora », Opinião de José Miguel Sardica, Renascença, 10/07/19.

 

« La conclusion est grave mais l’auteur ne désespère pas et croit en un sursaut de personnes capables de désirer un bien véritablement humain : la charité. L’ouvrage est érudit et très bien écrit. L’argumentation rationnelle et structurée, ainsi que les nombreux faits qui l’illustrent, ont une vraie force de conviction », Centre européen d'enseignement et de recherche en éthique (CEERE), 10/19.

 

« El autor, que el prólogo del ex Ministro del Interior español Jaime Mayor Oreja caracteriza como un vanguardista semejante al filósofo francés Rémi Brague, aporta a la obra su vasta experiencia directa en el sistema europeo de derechos humanos (…). Resulta especialmente interesante la explicación de por qué la creación de un derecho a abortar – propuesta que actualmente se plantea en muchos países latinoamericanos– es la puerta de entrada para otras nuevas libertades como el derecho a la libertad sexual, el derecho a la procreación artificial, el derecho a la homoparentalidad o el derecho a practicar la eutanasia a terceros. Prácticas anteriormente prohibidas son ahora promovidas no solo de manera defensiva frente al Estado, sino de manera ofensiva y a través del mismo, como ocurre con el supuesto derecho a terminar con la vida del propio hijo no nacido y otros supuestos derechos: el derecho a un hijo, al eugenismo o a cambiar de sexo. », Prof. Ligia De Jesús Castaldi, Prudentia Iuris (Facultad de Derecho de la Pontificia Universidad Católica Argentina), 06/20.

 

 « Grégor Puppinck es el director general del Centro Europeo para la Ley y la Justicia, una entidad no gubernamental dedicada a la defensa de la dignidad humana ante los tribunales europeos, en especial el Tribunal Europeo de Derechos Humanos (TEDH). Le entrevistamos con ocasión de su último libro, recientemente publicado en España con el título Mi deseo es la ley (Encuentro). En él sostiene que la Declaración de los Derechos del Hombre de 1948 ha perdido su sentido original a favor de una ideología que entiende la dignidad humana como resultado de una “desencarnación”, en contra de la naturaleza », Fernando Rodríguez-Borlado, Aceprensa, 09/06/20.

 

« Già gli ultimi pontefici avevano rilevato la tendenza contemporanea a passare dai “diritti dell’uomo” a pretese talvolta arbitrarie di tipo individualistico. Il libro di G. Puppinck documenta, in chiave giuridica, tale metamorfosi, sottolineando la mentalità transumanista sottesa a questo movimento che conduce a snaturare l’uomo, dis-integrandolo dai suoi legami socio-culturali », Carlo Lorenzo Rossetti, « La metamorfosi dei dirritti dell’uomo », in Rassegna di Teologia (Rivista di teologia e di scienze umane), 61 (2020), pp. 159-169.

 

 « Ha llegado el momento de tomar nota de la transformación radical de los derechos humanos, de analizarla, de entenderla y de extrapolar las consecuencias». Así responde Grégor Puppinck cuando se le pregunta acerca de las razones que le han llevado a escribir este libro, convencido de que los derechos humanos de hoy no tienen nada que ver con los de 1948. « Son incluso lo contrario », José María Ballester Esquivias, Alfa y Omega (Semanario católico de información), Nº 1175, 09/07/20.

 

« Puppinck analiza la evolución de la teoría de los derechos del hombre. Su diagnóstico coincide con el de Villey y Harouel en que los derechos humanos se han convertido en un ídolo, incompatible con cualquier otra creencia. Su teoría ha devenido una ideología intransigente, como apuntan también Glendon y Kaplan. Su principal contendiente son las religiones tradicionales universales (Islam y Cristianismo) », in Construir sobre roca, Ediciones de la Universidad de Castilla-La Mancha, Colección ATENEA n.º 20, 2020.

 

 « Criticar la idea de los derechos humanos requiere mucho valor: tienen la aureola de lo sagrado. Lo que hace Grégor Puppinck en su formidable Mi deseo es la ley, publicado por Encuentro hace unos meses, no es atacar el concepto mismo de los derechos, sino su ideologización reciente, que se manifiesta en la constante adición de “nuevos derechos” que suponen la inversión de los originales (el “derecho al aborto” implica la negación del derecho a la vida; el “derecho al hijo”, la negación del derecho del niño a tener un padre y una madre, etc.) », Francisco José Contreras, « Grégor Puppinck y la autodestrucción de los derechos humanos », Actuall, 31/08/20.

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