Prix de l'humanisme chrétien 2016
Vendredi 18 novembre 2016, Grégor Puppinck recevra le Prix humanisme chrétien 2016 pour son livre : La Famille, les droits de l'homme et la vie éternelle.
L’Académie d’Éducation et d’études Sociales (AES) en France et l’Association d’Éducation et d’Entraide Sociales (AEES) en Suisse ont décidé d'attribuer ce prix annuel afin de "récompenser un ouvrage novateur et formateur, accessible au plus grand nombre et répondant aux valeurs de tradition sociale et d’humanisme chrétien que ces deux associations ont pour but de promouvoir."
Ce prix sera remis officiellement par le jury du Prix en présence de Dominique Ducret, Président de l’Association d’éducation et d’entraide sociales (AEES), Jean-Didier Lecaillon, Président de l’Académie d’éducation et d’études sociales (AES).
Cet ouvrage, paru aux éditions L'Homme nouveau et disponible à la vente ici, analyse la révolution individualiste, son boulversement de la société occidentale, fragilisant les familles et le mariage, et comment elle a transformé les droits de l’homme, miroirs de notre conscience collective. Ceux-ci, proclamés après la Seconde Guerre mondiale comme une réaffirmation des droits naturels, promeuvent à présent des « droits antinaturels » (avortement, eugénisme, euthanasie…).
Comment s’opère cette transformation, et comment l’Église pourrait y répondre ?
L'événement se tiendra à 19 h à la Maison Saint-François-Xavier 7, rue de Poitiers – 75007 Paris.
Présentation du livre
Comment expliquer la transformation actuelle des droits de l’homme, et comment y répondre ?
C’est à ces deux questions que Grégor Puppinck, directeur de l’ECLJ (European Centre for Law and Justice), répond dans La famille, les droits de l’homme et la vie éternelle.
La révolution individualiste a bouleversé la société occidentale, fragilisant les familles et le mariage, et a transformé les droits de l’homme, miroir de notre conscience collective. Ceux-ci, proclamés après la Seconde Guerre mondiale comme une réaffirmation des droits naturels, promeuvent à présent des « droits antinaturels » (avortement, eugénisme, euthanasie…). Ce livre analyse la logique à l’œuvre dans cette transformation des droits de l’homme, expliquant en cela celle de la société occidentale.
Travaillant depuis plus de quinze ans auprès des institutions internationales
Cette transformation repose sur deux changements fondamentaux. Le premier est le triomphe de l’individualism
La transformation des droits de l’homme est un phénomène fondamental permettant d’analyser et de comprendre celle de la société occidentale. Alors que les droits de l’homme d’après-guerre voulaient placer haut l’idéal d’humanité, pour la protéger des idéologies, ils sont en train d’être capturés par l’idéologie postmoderne au point de contribuer à présent à la crise culturelle de la société occidentale.